Myret Zaki

27 avril 2018 · Modifié · Anne-Marie Philippe

Myret Zaki, brillante, bien dans sa peau, l’esprit vif, pertinent, et toujours dans la considération de l’autre. Journaliste économique, à la tête du magazine bilan, elle est aussi l’auteure de plusieurs livres dont «UBS, les dessous d’un scandale», «le secret bancaire est mort, vive l’évasion fiscale» ou dernièrement «la finance de l’ombre a pris le contrôle» aux éditions Favre.

Mariée et mère de 2 filles, Myret mène de front ses responsabilités professionnelles et familiales. Avec le sourire.

À l’occasion du Salon du livre et de la presse, elle nous livre sa vision de l’avenir et ses constats aussi.

ELLE. Myret Zaki, quelle femme êtes-vous?

J’aime sortir des sentiers battus et inventer ma vie et les voies que je choisis de suivre. J’avais au départ une forme marquée d’individualisme et un goût pour la découverte et la réussite en solo. Aujourd’hui, j’apprécie plus que tout la complémentarité d’une équipe et la force de la famille. Le bonheur et la réussite collectifs m’apportent les plus grandes joies.

Aujourd’hui, en plein Salon du livre et de la presse, que pensez-vous de l’évolution de nos métiers?

Les entreprises de presse et d’édition doivent réfléchir à de nouveaux modèles d’affaires. Mais le cœur du métier d’écrivain ou de journaliste, lui, à savoir la création de contenu, n’a jamais été aussi prisé. Le contenu est demandé partout. Quiconque veut exister, avoir une visibilité, un impact, convaincre, doit avoir un message, un propos, une cause.

En dehors de votre passion professionnelle, qu’aimez-vous?

J’ai une passion pour le cinéma. J’aime le chant, écouter de la musique (cela va de la pop française, au metal, en passant par l’oriental, flamenco ou brésilien). Je m’adonne aussi à la course à pied. Une bonne façon de remettre les compteurs à zéro. Ça nettoie de l’intérieur et oxygène le cerveau.

Quelle rencontre a changé votre trajectoire?

C’est un écrivain né en 1898 qui a changé ma vie: Norman Vincent Peale, pasteur chrétien américain qui a créé le concept (d’ailleurs souvent mal compris) de «pensée positive», et dont le livre «The Amazing Results of Positive Thinking», écrit 1959, a transformé ma pensée, et ma trajectoire. 

Quels sont les restaurants que vous aimez fréquenter?

Le Lyrique à Genève, et le Miyako du Beau Rivage à Lausanne.

 » J’aime sortir des sentiers battus et inventer ma vie. « 

Myret Zaki

Où vous habillez-vous?

Je m’habille principalement à la boutique Evidence (Rive) et 52 Avenue (Florissant). C’est un style qui me correspond.

Votre QG près de votre bureau?

Une terrasse épicerie très sympa «Les Filles Indignes» rue de l’Arquebuse.

Un service à partager avec nos lectrices?

Oui, le WMS Massage Urbain, rue des Rois, Genève. Un moment de détente magique.

Le week-end avec les enfants, vous faites quoi?

On prend le bateau de la CGN jusqu’à Nyon et on déjeune à bord. On se promène dans la réserve naturelle Les Moulins de Vert à Genève ou sur le Sentier de la Truite à Tolochenaz. On va au cinéma à la Praille, ou encore aux Bains Bleus.

Une adresse de restau en amoureux?

La terrasse du restaurant du Parc des Eaux-Vives. Un cadre unique.

Un brunch avec les enfants?

Nous choisissons d’aller Chez Cartier (Les Régates J.J. Cartier), à Versoix.

Où faites-vous vos courses?

À l’épicerie Nice en face de chez Mage, route de Malagnou.

Un hôtel où passer la nuit près de chez vous?

Le Tiffany, rue de l’Arquebuse. Un bel immeuble fin XIXe en plein cœur du quartier artistique et au pied de la Vieille Ville.

Où faites-vous du sport?

Sur la piste du Centre Sportif de Sous-Moulin. Il y a beaucoup activités différentes.

Une adresse quand vous êtes épuisée?

Lorsque je suis épuisée, rien de tel qu’un massage au spa de l’Hôtel des Trois Couronnes à Vevey.

Une femme que vous admirez?

J’admire La princesse Amira Al Tawil, ex-femme d’Al Walid Bin Talal.

Tags : Inspiration · Livre · Femme

Myret Zaki, brillante, bien dans sa peau, l’esprit vif, pertinent, et toujours dans la considération de l’autre. Journaliste économique, à la tête du magazine bilan, elle est aussi l’auteure de plusieurs livres dont «UBS, les dessous d’un scandale», «le secret bancaire est mort, vive l’évasion fiscale» ou dernièrement «la finance de l’ombre a pris le contrôle» aux éditions Favre.

Mariée et mère de 2 filles, Myret mène de front ses responsabilités professionnelles et familiales. Avec le sourire.

À l’occasion du Salon du livre et de la presse, elle nous livre sa vision de l’avenir et ses constats aussi.

ELLE. Myret Zaki, quelle femme êtes-vous?

J’aime sortir des sentiers battus et inventer ma vie et les voies que je choisis de suivre. J’avais au départ une forme marquée d’individualisme et un goût pour la découverte et la réussite en solo. Aujourd’hui, j’apprécie plus que tout la complémentarité d’une équipe et la force de la famille. Le bonheur et la réussite collectifs m’apportent les plus grandes joies.

Aujourd’hui, en plein Salon du livre et de la presse, que pensez-vous de l’évolution de nos métiers?

Les entreprises de presse et d’édition doivent réfléchir à de nouveaux modèles d’affaires. Mais le cœur du métier d’écrivain ou de journaliste, lui, à savoir la création de contenu, n’a jamais été aussi prisé. Le contenu est demandé partout. Quiconque veut exister, avoir une visibilité, un impact, convaincre, doit avoir un message, un propos, une cause.

En dehors de votre passion professionnelle, qu’aimez-vous?

J’ai une passion pour le cinéma. J’aime le chant, écouter de la musique (cela va de la pop française, au metal, en passant par l’oriental, flamenco ou brésilien). Je m’adonne aussi à la course à pied. Une bonne façon de remettre les compteurs à zéro. Ça nettoie de l’intérieur et oxygène le cerveau.

Quelle rencontre a changé votre trajectoire?

C’est un écrivain né en 1898 qui a changé ma vie: Norman Vincent Peale, pasteur chrétien américain qui a créé le concept (d’ailleurs souvent mal compris) de «pensée positive», et dont le livre «The Amazing Results of Positive Thinking», écrit 1959, a transformé ma pensée, et ma trajectoire. 

Quels sont les restaurants que vous aimez fréquenter?

Le Lyrique à Genève, et le Miyako du Beau Rivage à Lausanne.

 » J’aime sortir des sentiers battus et inventer ma vie. « 

Myret Zaki

Où vous habillez-vous?

Je m’habille principalement à la boutique Evidence (Rive) et 52 Avenue (Florissant). C’est un style qui me correspond.

Votre QG près de votre bureau?

Une terrasse épicerie très sympa «Les Filles Indignes» rue de l’Arquebuse.

Un service à partager avec nos lectrices?

Oui, le WMS Massage Urbain, rue des Rois, Genève. Un moment de détente magique.

Le week-end avec les enfants, vous faites quoi?

On prend le bateau de la CGN jusqu’à Nyon et on déjeune à bord. On se promène dans la réserve naturelle Les Moulins de Vert à Genève ou sur le Sentier de la Truite à Tolochenaz. On va au cinéma à la Praille, ou encore aux Bains Bleus.

Une adresse de restau en amoureux?

La terrasse du restaurant du Parc des Eaux-Vives. Un cadre unique.

Un brunch avec les enfants?

Nous choisissons d’aller Chez Cartier (Les Régates J.J. Cartier), à Versoix.

Où faites-vous vos courses?

À l’épicerie Nice en face de chez Mage, route de Malagnou.

Un hôtel où passer la nuit près de chez vous?

Le Tiffany, rue de l’Arquebuse. Un bel immeuble fin XIXe en plein cœur du quartier artistique et au pied de la Vieille Ville.

Où faites-vous du sport?

Sur la piste du Centre Sportif de Sous-Moulin. Il y a beaucoup activités différentes.

Une adresse quand vous êtes épuisée?

Lorsque je suis épuisée, rien de tel qu’un massage au spa de l’Hôtel des Trois Couronnes à Vevey.

Une femme que vous admirez?

J’admire La princesse Amira Al Tawil, ex-femme d’Al Walid Bin Talal.

Tags : Inspiration · Livre · Femme